Elle avait alors affirmé que sa situation affective avait pesé dans la décision de son employeur : elle était divorcée.
Oui effectivement dans les organisations diocésaines le divorce est assez mal vu, mais c’est tacite. Une candidature à un poste de directeur dans l’enseignement privé est soumis à l’agrément de l’évêque (sa bénédiction ?), et elle sera assez systématiquement écartée si le (la) postulant(e) est divorcé(e). Un directeur (une directrice) d’école qui a divorcé n’obtiendra pas de mutation en tant que directeur ou directrice, sa seule possibilité restante étant d’être démissionnaire de sa fonction de direction pour réintégrer un poste d’enseignant.
Faut pas de tache dans le paysage de la sainte famille ...