Ce qui me dérange au fond, c’est que Eastwood veut nous faire avaler un sous-théatre du théatre de guerre de Rove.
L’essence de l’art est de donner place à l’inacessible et à l’inessentiel. Ici, fourguer une rédemption d’une erreur de mesure de théatre de guerre suite à la chute des tours du World Trade Center passe encore. Mais c’est bel et bien revendre l’ignorance ou la volonté de ne pas connaître les turpitudes de certains de nos semblables.