Le gain pour la population n’est pas dans la nationalisation des fournisseur d’accés, il est dans la nationalisation du réseau qui permet, par la péréquation de traiter, à égalité, les zones faiblement urbanisées comme les autres et de proposer à tous les fournisseurs d’accés les même services aux mêmes prix, ce qui permet une concurrence « libre et non faussée » en faveur des utilisateurs.
En France, la (re)nationalisation du réseau Orange (ex France Télécom), en multipliant les fournisseurs d’accès, mettrait un terme aux ententes illicites (entre 3 ou 4 opérateurs) qui boostent les prix à la hausse ! Comme d’ailleurs les investissements redondants qui prolifèrent en zone urbaine. Alors que les conseil départementaux doivent financer la résorbtion des « zones blanches » dans les zones rurales.
Avant 97, le monopole France Télécom résolvait toutes les pannes en moins de 48h. Aujourd’hui, quelque soit l’opérateur il faut tabler sur une semaine, à moins de payer un sur-abonnement pour garantir un temps de rélève (pas toujours respecté d’ailleurs, mais indemnisé....).