alinea
haha ...
belle alinea si ouvertement adorée, bue.
la réponse ne m’intéresse pas ! puisqu’en plus c’est pas mon hôte, mais je l’excuse d’écrire.
merci de prêter l’oreille courageusement à ce qui d’habitude est vite évacué comme délire.
les piliers du passé, bien dit, mais pour retrouver ça, imaginer la table rase,
et la schizo avec, mais c’est jouable.
lermontov
hölderlin, sa mère et les deux hémisphères ?
aveu : j’ai évité les lettres avec sa mère, on dirait des actes au commissariat,
idem avec baudelaire,
rimbaud fuit, sa vie entière.
sa dernière lettre au directeur du port sur les lots de dents est une grande frayeur.
en arriver à compter ses dents ça ne peut être qu’au dernier étage des enfers,
là où héraclite jouait en riant avec les enfants, aux osselets, dans le temple de diane ;
puis il s’éveille soudain au fait qu’il agite en main ses propres vertèbres,
et lorsqu’il lève les yeux vers les gosses, alors il voit...
le récit s’arrête là.