@Robert GIL C’est à l’évidence faux. Il y a dans le pays de l’auteur, un État beaucoup plus libéral, plus de riches en proportion, beaucoup moins de fonctionnaires, mais aussi de chômeurs, plus de croissance, plus de migrants mieux accueillis.
A quantité de riches inférieure, notre pays s’en tire plus mal : conclusion logique, soit il nous faut plus de riches, soit le facteur de paupérisation, ce ne sont pas les riches mais d’autres catégories sociales plus nombreuses chez nous. ... Bon déjà, nous savons qu’il ne s’agit pas des migrants...