Bon article. Je ne connais pas Sicario. Je vais le voir. Je pense néanmoins que « La soif du mal » aborde davantage de sujets qu’une simple différence dans la manière policière de procéder. enfait la frontière (puisqu’avec raison il s’agit de cela) entre le bien et le mal est très ténue. Si Quinlan utilise de tels moyens (preuves fabriquées) c’est qu’il sait que justice ne sera pas faite par les moyens ordinaires................... d’ailleurs Vargas , en enregistrant la conversation s’engage avec allégresse dans la même voie que Quinlan........... ne dit-il pas « Je ne suis plus policier, qu’as tu fait de ma femme ? »
C’est aussi un film sur la trahison.