Merci de remettre les pendules à l’heure. Quoi qu’on pense de Bachar, de son action et même de sa légitimité, aucun pays n’a à intervenir. C’est au peuple de Syrie de prendre leur destin en main. Je n’ai jamais cru au fameux droit d’ingérence, qui au final créée plus de problèmes qu’il n’en règle, avec un effet domino catastrophique.