Une spécialité chez Fortin de prendre la défense des dictateurs.
Même Poutine, soit-disant son allié, l’a compris : ce n’est pas Bachar qui compte mais l’intégrité géo-politique de la Syrie. Il le renverra à ses très chères consultations d’ophtalmologue dès que la Syrie sera pacifiée. Entre-temps, la real-politik veut qu’il faut faire avec. Cent mille militaires syriens sont morts pour défendre la dynastie Assad. Ajoutons-y les cent mille prisonniers politiques et autres disparus qui voulaient que la Syrie évolue vers plus de démocratie et vous aurez le compte, ceci sans même totaliser les Daeschistes et autres Allah Cosa Nostra.
Bachar est le représentant actuel d’une nation qui n’existe plus. Il est là faute de mieux et non par légitimité populaire, cela tombe sous le sens. Le jour proche où il sera mis sur une voie de garage, ce sera la preuve que la Syrie pourra revivre en tant qu’état multi-confessionnel.
Le reste n’est que du bla-bla.
Avec tout mon irrespect.