N’importe quoi.
La bourgeoisie a massivement retiré ses capitaux de l’argentine, ne faisant aucune confiance dans le gouvernement socialiste amateur d’embauche massive de fonctionnaire et de machins sociaux à crédit.
Qu’elle s’en soit ainsi mieux sorti, c’est une évidence. Mais le criminel, c’est le peuple, qui ne pense qu’à voler l’argent des riches et qu’on achéte comme une pute.
Quand à la France, la date du krack est déja prévu : moins de 10 ans.