Quand j’ai appris
que Bruel reprenait le répertoire de Barbara, je me suis dit :
c’est décidément le spécialiste du rétro, il doit être en sacreé panne
d’inspiration ( ses paroliers ne parviennent plus à lui insuffler le feu sacré ) .
Je dois à la vérité que ce n’est pas sans une
certaine indifférence sinon hostilité que je l’ai écouté.
Et
pourtant il réussit à exprimer avec une grande sincérité tout
l’immense talent de la grande Barbara : en un mot, il émeut et
quel meilleur compliment à lui faire !