’’Todd était, jusqu’à l’aube de cette année 2015, un homme dont j’appréciais les idées, principalement parce qu’elles s’appuyaient sur un recul de bon aloi et des capacités d’analyse non partisanes. Tel n’a pas été le cas près les attentats de janvier : l’homme, enfermé dans des convictions absurdes, s’est manifestement fourvoyé dans des voies très éloignées de la réalité, ce que j’ai en partie dénoncé dans un article du 4 mai intitulé « Le grand délire d’Emmanuel Todd ».’’
Il est clair que si Emmanuel Todd fait une analyse qui déplaît à Fergus, ce n’est pas Fergus qui doit revoir sa copie, mais Todd.
Joyeux Noël, Fergus.