Alinea,
Je voulais te dire aussi que je ne peux plus entrer dans l’univers où tu livres combat. Cela m’épuise. Aussi, je tente de revenir aux fondamentaux artistiques et philosophiques auprès desquels je me ressource. A chaque âge ses moyens de vie et d’expression. Chacun fait ce qu’il peut.
Pour cette raison j’erre en pénitent dans le labyrinthe de la modération, comme Jean Valjean dans les égouts. Quant il m’arrive de me promener en surface, la puanteur m’est au moins aussi désagréable. Je reviens donc tenir compagnie aux rats d’infortune. Ces voisins de l’ombre et du rejet me conduisent néanmoins vers la lumière, ce que le genre humain ne fait plus.
Je ne t’embrasse pas pour l’instant, ce ne serait pas agréable pour toi.