@Homme de Boutx
"La désexcitation d’un atome, ou de son noyau s’il est instable ne
peuvent être prédites que de manière statistique, sur les grands
nombres. Seul le grand nombre peut statistiquement effacer les
fluctuations du bruit de fond broglien. Seuls les grands nombres mettent
en évidence que la plupart des très très nombreux absorbeurs potentiels
sont d’impédance équivalente, vus des émetteurs, excepté s’ils
présentent des résonances fréquentielles précisément accordées sur la
fréquence qu’on émet vers eux.«
Ne seriez-vous pas »l’inventeur de la « théorie de l’esprit de serre du co2 et pas du nucléaire » ?
ça collerait parfaitement : imaginez cette pauvre molécule de C02 perdue en altitude à -50°C est qui se laisse exciter par un émetteur judicieusement accordé à 200 °K sur sa raie à 15µm et donc réchauffée et si on vous suit, après s’être refroidie au milieu des autres molécules voire même en se comportant en émetteur surchauffé, elle va avoir du mal à retrouver son état d’avant... mais à un moment, après avoir joué ainsi les cigales elle va obligatoirement y revenir tout en restituant l’énergie qu’elle a absorbé. Drôle de vie..
Il vaut mieux croire que la chaleur se disperse dans l’espace comme dans tout milieu, sachant que l’air est un isolant, qu’il peut stocker, en plus de la chaleur, une certaine quantité d’eau, et que cette eau est relativement prévisible même si elle peut être liquide à -40°.
Ainsi, chaque fois que vous injectez chaleur et humidité dans l’air, ces dernières se diluent simplement et rapidement par mélange à un point que la température de l’air n’évolue que de façon imperceptible, limitant donc leur élimination par « les voies naturelles ». Cela suffit à expliquer le devenir de toute l’énergie déterrée par l’homme.