Certaines mauvaises langues prétendent que Pierre Gattaz n’est arrivé là que par le prestige de son père Yvon qui l’avait précédé mais qu’il n’en serait qu’un pâle reflet, un peu comme les Bush.
Votre article montre qu’il n’en est rien !
Il est efficace, le p’tit gars au regard aussi franc qu’un âne qui recule.