Finalement, notre situation est une sorte de syncrétisme entre les deux mondes décrits dans ces livres. Un truc mis en place finalement tout seul, n’oubliez pas : « le marché s’auto régule », sans qu’il y ait eu besoin d’un complot mondial, mais simplement parce que tout ce qui a tendance à servir les intérêts des plus riches, qui sont aussi les vrais dirigeants, sera dans ce monde darwinien (paix à son âme), favorisé et donc conservé.
Vive le néolibéralisme (j’attends Isga) !