@sls0
L’étude du Pr Belpomme ? elle ne vaudrait pas tripette selon un article publié dans le Journal de l’Environnement le 16 janvier 2016.
Extrait :
l’étude souffre de failles majeures, dont celle,
cruciale, d’une absence de contrôle avec des individus sains.
Contacté par le JDLE, Yves le Dréan, chercheur rennais
à l’Irset [2] et spécialiste de l’effet cellulaire des ondes,
estime que « l’étude ne présente pas de statistiques », et
qu’« elle n’est donc pas très informative ». D’autant que « beaucoup
de marqueurs sont non spécifiques, par exemple l’histamine
caractéristique des allergies, ou les protéines chaperonnes dans
certains cancers ».
Pour autant, Yves Le Dréan juge que « l’étude est
intéressante d’un point de vue biologique, même si elle ne dit
rien sur les relations de cause à effet. On sait très bien que
ces personnes ont des problèmes de santé, mais on ne sait pas
pourquoi elles les ont, et si les ondes sont responsables. Et
cette étude ne montre pas que les ondes sont responsables ».