L’accroissement de l’immigration des plus défavorisés de la planète qui contribue à grossir le nombre de miséreux et de cas sociaux permet, semble t il l’émergence d’un métier nouveau, le « coaching ». Le terme anglais est tout de même plus « classy » que le terme banalement français « d’accompagnateur ».
C’est tant mieux, tout celà aide au moins à la création d’emplois, tout comme les épidémies promeuvent le renforcement des équipes hospitalières.
Tout de même à la grande différence que les « coachs » ne soignent pas les corps mais sont supposés guider les esprits....Mission délicate s’il en est, car guider les égarés suppose que l’on comprenne d’abord ou ils vont, puis que l’on aie soi même le sens de l’orientation.
Pas évident au plan résultats... Mais bon, celà donne du travail et de l’occupation à quelques uns et quelques unes, chevaliers des temps modernes, pourfendeurs intellectuels d’injustices par la plume et la langue, c’est toujours ç’a de gagné.