Personnellement, un bon démocrate se doit d’avoir les mains propres.
De Hollande, Juppé, Sarkozy, celle qui a encore les mains les plus propres, c’est Mme le Pen, à l’image de Trump aux US.
Les partis de droite et de gauche jouent sur les peurs fascistes.
La définition du fascisme est, d’après Mussolini, l’alliance des forces du pouvoir et du capital.
Le capitalisme de connivence en est une forme atténuée.
Il reste Mélenchon, dont l’esprit politique permet de contrebalancer l’esprit de pouvoir par le capital, qui est essentiellement fictif.
Il est l’un des rares de nos jours à apporter une critique personnelle, afin de contourner l’idiocratie qui se joue sous nos yeux, ou qui ne procède que par outrage. Il reste, chez lui, ce côté intellectuel nécessaire à la fonction politique.
Quand au centrisme, son pouvoir de séduction n’est pas particulièrement visible, ni lisible.
Et oui, la démocratie lave plus blanc que blanc.