@Robert GIL
Vous avez raison, mais le sujet principal de l’article, si je ne m’abuse, est moins l’affaire syrienne que l’analyse de la réthorique « anticomplotiste », analyse d’ailleurs excellente. Même si ça relève de la tactique plutôt que de la stratégie, dans la guerre des idées du moment, ça pèse. La tentative d’étouffement du débat bar ce biais doit être dénoncée comme une forme d’Inquisition. Cette insupportable odeur de bûcher nous rappelle les heures les plus sombres de l’histoire de la liberté d’opinion, etc., etc.