Remarques concernant le chmilblik ’travail’ ( cf wikipédia)
- « Apparu au XIIe siècle, selon Alain Rey, le mot « travail » est un déverbal de « travailler », issu du latin populaire « tripaliare », signifiant « tourmenter, torturer avec le trepalium ». Au XIIe siècle, le mot désigne aussi un tourment (psychologique) ou une souffrance physique (le travail d’accouchement). »
- Le travail forcé comprend l’esclavage, les corvées, et les peines de travaux forcés.
Dans le cadre d’activités marchandes, le travail libre est fourni par les travailleurs indépendants. [*]
Dans le cadre d’activités non marchandes, le travail libre comprend le travail domestique et le travail militant ; le travail salarié comprend les salariés des administrations publiques et des ménages.
- [*] : "Un travailleur indépendant ... doit toutefois s’adapter aux demandes de sa
clientèle.«
[ ... indépendant ? ! ]
CQFD : il n’y a pas que dans les textes officiels de notre Etat d’inégalités en droit que ce vocable n’a absolument pas la même signification pour tout le monde !
Pourquoi ne pas appeler un chat »un chat« ? Si l’on veut vraiment se comprendre ou débattre de ce qui est ou non »refuge", pourquoi ne pas réfléchir à partir des notions de corvées et de loisir ?!