J’ai toujours détesté les petits chiens à leur mémère. Le volume de leur aboiement inversement proportionnel à leur taille, leur tendance pleutre à se sauver au moindre signe d’opposition, leur petits nœuds entre des oreilles attentives, ...
Mais j’ ai toujours adoré ces mémés sans le sous qui cajolent leur solitude sans race en leur payant des repas de roi, pire j’ai adoré les mégères friquées qui soignent leur vieillesse avec pedigree à coup d’accessoires hors de prix.
Peut être que les chiens nous aident à aimer leur maître.