Il ne semble pas qu’il y ait un rapport quelconque entre les « caricatures » et les derniers attentats de Bruxelles et du Bataclan.
Revenir sur cette tarte à la crème du blasphème, c’est chercher à faire monter l’adrénaline et détourner les regards vers d’autres horizons.
Daesh, le Qatar, Erdogan, Israël, l’Arabie Saoudite et l’OTAN n’en ont rien à cirer du blasphème !
C’est pourtant de ce côté-là qu’il faut regarder pour trouver les commanditaires des atrocités dites « terroristes ».