Quelqu’un a justement fait remarquer :
« Il ne faudrait pas que le ’fort’ soit partout ’chez lui’ »
« Là où il n’y a pas de frontières, il y a des murs »
Voilà pour les frontières matérielles, visibles.
Il se pourrait cependant qu’il existe d’autres frontières, plus floues, impalpables, mais bien réelles, au sein de chaque enclos national, et effectives de façon transnationale, par des droits différents appliqués selon les différents types de contrat de subordination officiellement régentés.
Le travail du subordonné est-il comparable au ’travail’ de qui subordonne ?
Le ’travail’ (voire la prise de risque) d’un capital est-il à mettre en concurrence avec le ’travail’ (voire la prise de risque) d’un humain ?