Ben oui, Assad et Poutine vont gagner cette guerre contre les Islamistes et Assad n’a plus aucune raison de partir, sauf si les Syriens le lui demandent.
Comme a dit Poutine :« Pardonner dépend de Dieu, mais les envoyer auprès de lui, dépend de moi. »
Le virage semble bien difficile à négocier, pour tous ceux qui ont fricoté avec les Frères Musulmans et soutenu les « gentils égorgeurs modérés ». Et ils sont nombreux depuis Mitterrand !
C’est ce qu’explique le livre de Jean Loup Izambert qui vient de sortir :
« 56, L’ Etat français complice de groupes criminels ».