Les référendums court-circuitent les partis politiques qui monopolisent le pouvoir en contrôlant étroitement le processus électif.
Les partis politiques servent de bras armés à ceux qui les sponsorisent, les riches actionnaires des multinationales.
Un référendum est donc une remise en cause de la classe dominante.
Leur interdiction est dans la logique du système oligarchique.
Remarquons, qu’en France, depuis la forfaiture Hollande/Sarkozy de 2007 sur le Traité de Lisbonne, aucun référendum n’a été organisé. Ce serait trop ridicule.