Personnellement, je préfère manger le placenta suite à un heureux événement. C’est une vieille coutume chamanique que l’on pratique encore en cerains points de Sibérie. On pourrait aisément l’introduire en France, ce qui nous ferait quelques 700 000 repas survitaminés par an ! Et quel rigolade d’imaginer toute la branchouille franchouillarde en train de mastiquer religieusement son petit morceau d’ange, tout frais sorti de la crêche...