Je ne vois vraiment pas ce que gagnerait le dialogue social, indispensable dans une société complexe comme la nôtre, si on ruinait les syndicats.
Quant à la représentativité de chaque syndicat, elle est mesurée grâce aux élections professionnelles. Si vous avez un autre indicateur pertinent n’hésitez pas à le dire.
Que tout ça soit perfectible, tant au niveau de la mesure de l’influence de chaque syndicat ou de la transparence financière, sans aucun doute. Mais qui imagine une société libre sans organisations des travailleurs ?