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Nicole 10 décembre 2007 10:40

« L’OBLIGATION, UNE VERITABLE DICTATURE »

« Déjà en 1892, Yves Guyot, Ministre des Travaux Publics, écrivait : « Je suis un adversaire résolu de la vaccination obligatoire, je ne reconnais pas le droit à l’Etat de pénétrer dans les individus sous forme de virus. C’est une violation de domicile. »

Lorsqu’on commença à vouloir introduire dans notre législation les obligations vaccinales, certains hommes politiques réagirent. Ainsi, constatant la fréquence des complications dues au BCG, René Gillouin s’expliqua devant le conseil Général de la Seine en 1938 : « Peut-on imposer par la force une méthode qui a déjà à son actif, ou à son passif, tant d’échecs éclatants ? N’oublions jamais la lamentable histoire du vaccin BCG inventé par le Dr Calmette, patronné par d’éminentes autorités médicales et qui faillit, lui aussi, être imposé par l’autorité publique alors que sa nocivité n’est que trop évidente. Il a aujourd’hui à peu près disparu, après avoir causé tant de désastres. »

De son côté, dans DROIT CIVIL, Nicole Heudebert signale : « Chacun a droit au respect et à l’intégrité de son corps pendant sa propre vie (...) Mais des atteintes de plus en plus nombreuses sont portées à ce principe : vaccination obligatoires (...) On sait, en outre, que les décrets d’obligations vaccinales, pour la plupart, ont été soumis au parlement de préférence lorsque les bancs étaient clairsemés, à ces heures où la fatigue gagne les mieux intentionnés, glissés dans un ordre du jour pléthorique qui ne facilite guère les amendements. Si ceux qui font voter les lois avaient vraiment le sentiment qu’ils apportent à l’humanité la délivrance de la maladie, est-ce de manière furtive qu’ils procéderaient ? Si les vaccins sont inoffensifs et efficaces, auraient-ils besoin de lois pour les imposer ?

Au vu de ces considérations la Ligue Nationale pour la Liberté des vaccinations pose la question : « La constitution française reconnaît aux citoyens le droit au respect de leurs convictions philosophiques, politiques ou religieuses. Un malade peut refuser un traitement médical ou chirurgical, mais le citoyen français bien portant doit subir le fait du principe et se soumettre à des vaccinations que non seulement il est en droit de réprouver en son âme et conscience, mais qui peuvent avoir des conséquences catastrophiques sur son état de santé, voire entraîner la mort. Y aurait-il des totalitarismes de bon ton, et le totalitarisme médical et pharmaceutique serait-il de ceux-là ? » (SLV, n°81, mars 1884)

Extraits de Sylvie SIMON : « Vaccination l’Overdose », Ed. Déjà, 1999.

A moins d’insérer le principe de liberté médicale dans la Constitution, viendra un temps où la médicine finira par s’organiser en dictature secrète... restreindre l’art de guérir à une seule classe d’individus et refuser les mêmes privilèges à d’autres constituera la Bastille de la science médicale. Pareilles lois sont anti-américaines et despotiques ; elles n’ont aucune place dans la république... La Constitution de cette république doit accorder les mêmes privilèges pour la liberté médicale que pour la liberté religieuse.

Dr Benjamin Rush, signataire de la Déclaration d’Indépendance des USA.


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