Si mon arrière grand-mère état encore en vie, je lui aurais volontiers fait lire toutes vos réactions. Elle qui a perdu 2 enfants de la dyphterie à la fin du XIXe siécle, après les avoir soignés nuit et jour, impuissante face à la maladie, eux qui étouffaient inexorablement et qu’elle leur infligeait un traitement qui les faisait souffrir encore un peu plus... Je pense à elle chaque fois que je fais les rappels de mes 3 enfants...