La première chose que devraient faire les médias c’est bannir ce vocabulaire coupable et employer les mots qui conviennent :
- ne pas nommer attentat (le plus souvent, seulement présumé) ce qui est un crime avéré ;
- ne pas appeler kamikaze celui qui n’est qu’un assassin (désespéré ou abusé).
Il y a des années que je me bats, en vain, contre cette obstination coupable des journalistes médiatiques.
Que Daesh revendique ces crimes, on n’en a rien à foutre ! On ne veut pas le savoir ! Mieux : il ne faut même pas le dire.