L’article semble souhaiter un « nuit debout » à l’échelle nationale, autant dire qu’il rêve tout éveillé.
« Mais les citoyens, veulent-ils vraiment du changement ? »
C’est effectivement la question clé, mais il faut y ajouter une question subsidiaire sans laquelle elle n’a pas de sens :« Et si oui, quel changement ? »
Et la réponse à la seconde question ne peut se faire que par un vote.