Le « tract », « l’appel » dit le PCF, du 10 juillet 40 (jour de l’intronisation de Pétain) par le parlement (les élus communistes sont en prison (Waldeck Rochet...) ou dans la clandestinité (Duclos, Tillon..)) a du être validé par Thorez, par radio, avant d’être imprimé dans une imprimerie clandestine de Paris, et repris en région par d’autres moyens d’impression, ce qui explique les nuances constatées.
Une phrase est présente dans toutes les version, non relevée ici, comme par la plupart des historiens de droite
« Jamais le peuple français sera un peuple d’esclaves »
Concernant Dalidet (torturé à mort), Duclos précise, dans ses mémoires, que lorsqu’il a été informé de sont arrestation, il a décidé de ne pas déménager pour une autre planque : « je savais qu’Arthur ne parlerait pas »