Bonjour Pierre,
Les futurs médecins récitent-ils toujours le serment d’Hippocrate au moment de leurs examens ? C’était le cas il y a bien des années.
Mais alors, s’ils le récitent encore, c’est qu’ils l’ont appris ! N’ont-ils pas honte de ne pas suivre les préceptes de ce beau serment ?
Pourtant, personnellement, je ne trouve pas l’honoraire trop cher si le médecin est à l’écoute, s’il prend son temps, s’il ne me considère pas comme un objet à traiter, à toute vitesse et selon les critères inculqués par ses professeurs, souvent inféodés aux labos.
Je voudrais me procurer l’excellente oeuvre de Gaétan Brouillard (un Canadien) : « la santé repensée ». Peut-être y trouverai-je un manifeste contre médecins, laboratoires et pharmaciens cupides ?
Considérons l’humain comme un arbre malade : les médecins traitent les feuilles, les branches, sans penser un seul instant aux racines.
En attendant, nous sommes bien obligés parfois de nous adresser à eux, et souvent, de leur opposer un véto lorsque l’ordonnance est trop lourde, incompréhensible ou même néfaste...