Au crédit de Villepin,sa position de de ne pas suivre le bellicisme en vigueur, à la remorque de l’OTAN, mais de privilégier la diplomatie et les solutions politiques avant de recourir aux armes. Paradoxalement, il semble que ce soit un peu la vision de Trump pour l’international.
Certes, il est un partisan de la politique eurolibérale (pro « oui » en 2005), mais plus viscéralement, il est l’opposé de la beaufitude machiste et xénophobe du président issu du système électoral étasunien (tout en étant minoritaire en voix), et c’est clairement ce genre de repli qu’il craint pour la France.