F@JP94
Merci de votre commentaire. Il est bien précisé dans l’article que le 1er accord a été refusé par référendum (à une très courte majorité il est vrai) au terme d’une campagne menée par l’opposition de droite, avec l’ex-président Alvaro Uribe en pointe. Les nombreuses modifications apportés à l’accord vont logiquement dans le sens de ces secteurs de droite dure. Deux grandes peurs se nourrissent de la perspective de paix avec les FARC :
- Que les ex-FARC, forts de leur expérience militaire, ne se structurent en réseaux mafieux comme l’ont fait les paramilitaires d’extrême-droite qui les combattaient.
- Qu’ils s’insèrent à la vie politique colombienne et s’organisent à terme en un mouvement politique type bolivarien.