L’avantage, quand un pape fait de la politique, c’est que chacun peut interpréter tout et son contraire, ainsi que sélectionner les passages qui lui plaisent. Ceci même quand ça parait concret.
On le voit aussi dans ce billet alors que l’auteur a fait tous les efforts possibles pour orienter l’ensemble vers l’apologie du mondialisme et des migrations de masse (en évitant soigneusement les citations sur la responsabilité des états pratiquant des ingérences à l’étranger, plus timides mais existantes).
Mais notre cher auteur ratisse large : Hier Merkel, aujourd’hui le pape François, demain qui sait... Tout est bon pour louer l’idéologie immigrationniste de masse.