Mais voyons, il ne faut pas du tout qu’ils parlent ! Les forces de l’ordre savent pertinemment comment les contraindre à cracher le morceau, le problème est que s’ils s’avisent de dire autre chose que ce qu’on leur a commandé, il se pourrait qu’il en ressorte des vérités qui dérangent...
Comme le commandant de Daesh interviewé par des médias européens, qui affirme être armé, entraîné, et piloté par les services américains. D’autres affirment être encadrés par les services du Royaume-Uni ou avoir été soignés dans des hôpitaux israéliens. Ce n’est pas compatible avec les récits schyzophrènes que nous racontent les « spécialistes » de l’audio-visuel et les torchons que l’on ose encore appeler journaux.
Tout comme il était important de liquider Ben Laden, et que les américains procèdent aujourd’hui à une purge des généraux de la « résistance » en Syrie, le besoin impératif est précisément de les empêcher de parler.