ce qu’a bien évidemment refusé le dictateur Syrien, très lié comme on le sait à la Russie de Poutine, et qui préfère privilégier la solution russe. vidéo
Comme par hasard, c’est en février 2011 qu’ont éclatés les premiers troubles, mettant en scène d’une part les opposants à Bachar, financés par le Qatar : les MSM ont bien enseigné le vocabulaire à utiliser, dictateur Syrien, Bachar, il manque le boucher de Damas.
Pour d’autres, j’aurais écrit « les perroquets ont bien appris la leçon », mais pas pour olivier cabanel.