Les télés françaises ont frôlé l’apologie du terrorisme ces dernières semaines.
La veille de l’attentat de Berlin, elles montraient un barbu qui quittait Alep-Est, il braillait « Allahou Akbar » par la fenêtre du bus qui l’évacuait. A coup sûr, c’était un djihadiste ; c’est leur cri de guerre, leur leitmotiv, ils répètent ça du matin au soir dans toutes leurs vidéos.
A la télé, ça devenait :
« Un habitant d’Alep exprime son soulagement de quitter la ville bombardée » .