@Gilles Mérivac
vous préférez sans doute un petit nombre de bienheureux bénéficiant de confortables émoluments pour des emplois fictifs, plutôt que beaucoup le laissés pour compte qui bénéficieraient d’une médiocre aumône servant à peine à survivre dans ce monde où tout, y compris l’eau, est marchandisé.
Je suis sûr que ces emplois fictifs ou de complaisance nous coûtent aussi cher que coûterait un RU.