Bonjour Rosemar et merci pour les prof’s de français qui méritent bien cet éloge.
On parle d’un sacerdoce, s’agissant du métier d’infirmière - et c’est mérité.
On peut tout aussi bien baptiser sacerdoce le métier de prof’ de français.
Que de volonté, que de ténacité il leur faut pour tenter d’inculquer un peu de connaissance à des élèves qui, pour la plupart, ne leur vouent aucune reconnaissance.
Amicalement,