@GetREDy
Et actuellement dans le régime siono-fasho-hollandiste ;
"Les quatre policiers responsables de
l’interpellation sont placés en garde-à-vue le lendemain et une enquête
est ouverte pour « viol en réunion par personne dépositaire de
l’autorité publique. »
Pour leur défense, les policiers
expliquent qu’un coup de matraque aurait été porté aux fesses, après que
le pantalon du jeune homme soit tombé tout seul… Ce qui expliquerait,
selon eux, la perforation de l’anus. On ne rigole pas, s’il vous plait,
ce sont des fonctionnaires assermentés.
Dimanche 5 février, coup de théâtre, le
parquet requalifie les faits, non plus en « viol en réunion » mais en
« violences en réunion ».
On pourrait croire qu’il s’agit là d’une bavure, d’un cas isolé, qui ne concerne en aucun cas la police en général. Ah bon ?
« Je vais te violer et on va voir si tu filmeras la police »
Septembre 2016, un enseignant chercheur
de 28 ans filme avec son téléphone portable l’interpellation mouvementée
d’une femme par des policiers à la gare de Saint-Denis.
Deux policiers s’approchent de lui et le menacent : « On va te violer, ça te plaît, ça ? Je vais te violer et on va voir si après tu filmeras la police. » (1)
Selon l’enseignant, les policiers
lui font ensuite des clés de bras et touchent à plusieurs reprises ses
fesses. Quand ils trouvent sa carte de professeur, ils lui disent : « T’es
prof ? Quand l’état islamique viendra à la Sorbonne, tu vas les
regarder en te branlant ? »
Une plainte est déposée. Les
policiers, eux, continuent tranquillement à faire régner la terreur,
pardon la loi, dans notre belle démocratie.
Octobre 2015, Drancy, un homme de 28
ans vient d’être arrêté par la police municipale pour tapage nocturne.
Alors que les policiers le forcent à monter dans un voiture pour le
transférer à Bobigny, il ressent une violente douleur dans les fesses et
hurle, puis se met à pleurer. Un policier lui dit : “plus jamais tu parleras comme ça de la police municipale, tu te rappelleras de nous” (2)
A 4 heures du matin, il est amené en
consultation chez un médecin qui constate une perforation de l’anus et
lui prescrit 10 jours d’ITT. Son ADN est même retrouvé à l’extrémité de
la matraque télescopique du policier. Pour sa défense, le policier
explique que sa matraque a… « dérapé ».
Ici encore, la « justice » veille.
Le policier vient d’être jugé… pour violences volontaires, mais pas pour
viol. Le procureur requiert 6 mois avec sursis. Le jugement sera rendu
le 20 février.
La police ne viole pas. Elle violente. Nuance
C’est le second scandale de cette
affaire. Non contents d’avoir violé un homme, ce qui est prouvé par
l’examen médical réalisé immédiatement après les faits, les policiers
mentent comme des arracheurs de dents afin d’aboutir à une
requalification des faits. Et ils y arrivent.
Le viol est réprimé par l’article 222-23 du code pénal. Il est défini comme « Tout
acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur
la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise. ».