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(---.---.13.2) 11 février 2007 01:26

Article fort nauséabond !

Je remplacerai immigrés par français dans la phrase : « Depuis plusieurs années, une nouvelle forme de racisme semble faire son apparition dans le champ politique et social. Un racisme sourd, latent, qui ne dit pas son nom mais qui fait du »FRANCAIS« le coupable idéal d’une mondialisation par le bas ».

Alors vive l’immigration... qu’elle enfante tous les petits dont la France a tant besoin pour devenir le « bled » !

LA CRISE DES BANLIEUES S’INSTALLE A LA CAMPAGNE http://www.lefigaro.fr/france/20070206.FIG000000008_la_crise_des_banlieues_ s_installe_a_la_campagne.html

Les petites villes et les zones rurales ne sont plus épargnées par la violence des mineurs.

FEUX de poubelle, trafic de stupéfiants, racket ou « happy slapping » : jadis concentrée dans les grandes agglomérations, la délinquance des mineurs s’exporte dé­sormais dans les petites villes et jusque dans certaines zones ru­rales. Entre janvier et septembre 2006, 44 % des dégradations, 41 % des vols à la tire et 35 % des vols avec violence recensés dans les brigades de gendarmerie ont ainsi été perpétrés par des adolescents.

Depuis 2001, en outre, la proportion des mineurs, responsables de violences dites « gratuites » dans les zones contrôlées par la gendarmerie n’a cessé de croître, pour atteindre 18 % l’an dernier. Chaque semaine ou presque, la chronique des faits divers révèle ainsi une porosité croissante entre délinquance des villes et délinquance des champs. En octobre dernier, trois garçons de 15 ans et une jeune fille de 14 ans ont par exemple été interpellés à Nyons (Drôme, 7 000 habitants) après avoir mis le feu à 74 poubelles au cours des neuf mois précédents, causant un préjudice évalué à 26 000 euros. À Montauban-de-Bretagne (Ille-et-Vilai­ne, 4 200 ha­bitants), trois gamins de 13 ans, adeptes du petit pont massacreur, ont récemment traumatisé 14 victimes dans la cour de récréation avant d’être stoppés par les gendarmes. En décembre dernier, un élève de 15 ans a été arrêté à Gémenos (Bouches-du-Rhône, 5 000 habitants) après avoir violé une élève de 14 ans puis diffusé le film de l’agression, enregistré au moyen de son téléphone portable.

« Éduqués » par la télévision

« Depuis une dizaine d’années, le développement des mouvements de population entre villes et campagnes suscite une propagation géographique des violences de type urbain », analyse un officier de gendarmerie.

« Or, ces faits de délinquance, désormais observables sur l’ensemble du territoire, risquent de se propager encore si l’on en croit les démographes : ceux-ci prévoient l’a­r­rivée de huit millions de Français dans les zones périurbaines dans la période 1995-2015. » D’ores et déjà, les militaires estiment que 40 % des cambriolages et 63 % des incendies volontaires commis en Rhône- Alpes sont imputables à des mineurs. Or, le taux d’élucidation de ces actes est en baisse constante, les mineurs, « éduqués » par la télévision, multipliant désormais les précautions afin de ne pas laisser de trace sur les lieux de leur forfait.

« Depuis quelques années, nos villages sont inexorablement rattrapés par les incivilités et les actes de petite délinquance, surtout lorsqu’ils se trouvent à un jet de pierre de la ville, relève, inquiet, le président de l’Association des maires ruraux de France, Gérard Pelletier. Or, parce que la situation est évidemment pire dans les banlieues, personne ne prête jusqu’à présent la moindre at­tention à cette évolution. »


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