Effectivement, vous soulevez un point intéressant : peut-on comparer les difficultés des langues, existe-t-il des critères objectifs de difficulté ? Ce sera le sujet de mon prochain article, s’il est accepté.
Cette discussion n’aurait pas lieu d’être si l’anglais était mis sur le même plan de difficulté que le français, par exemple, ou l’allemand.
Mais comme ce n’est pas le cas, comme on nous rebat les oreilles avec ce cliché dans tous les médias, je trouve que la question posée dans le titre reste valable à partir du moment où cette supposée facilité de l’anglais est utilisée comme argument dans le débat sur les langues dans l’Union européenne.