De Gaulle, comme Mitterrand, demandaient à leurs conseillers techniques ou aux membres de leurs cabinets de leur préparer des notes, qu’ils réécrivaient abondamment. Jusqu’à l’improvisation totale pour De Gaulle, en fonction de son auditoire. Mitterrand, lui, demandait à plusieurs personnes de lui écrire le même discours pour comparer les différentes versions !