Bonjour Mohammed Manjour,
Vous abordez le thème de la complexité des rapports internationaux et vous avez raison car de ces rapports découlent l’actualité ainsi que notre avenir commun.
J’ai réuni quatre thèmes qui permettent, je l’espère, de mieux comprendre la situation internationale afin de pouvoir discerner les bonnes solutions...
Ce qu’il faut promouvoir :
Voici une vision française des rapports internationaux qui ne tolère aucune alliance continentale d’aucune sorte... Juste un Monde de nations libres, respectant « de bonne foi » le Droit international et les résolutions de l’ONU :
Ce qui ne fonctionne pas et qu’il faut éviter :
L’Europe Fédérale et la stupide vision d’Aristide Briand, qui engendra Le Conseil de l’Europe, dont Charles de Gaulle disait, avec une note d’humour un rien sarcastique, dans sa conférence de presse du 15 Mai 1962 :
– « Il y a même une assemblée parlementaire du conseil de l’Europe qui, il est vrai, est antérieure à la conception des Six et qui, me dit-on, se meurt au bord où elle fut laissée. »
Notre système économique est condamné :
– « La dette est utilisée pour payer les participants à l’économie, en utilisant une promesse pour des biens et des services futurs. Cela permet à l’économie de paraître distribuer plus de biens et de services, que ce qui est réellement disponible. D’une certaine façon, ajouter de la dette, c’est comme être en mesure de fabriquer des approvisionnements d’énergie à venir, qui pourront être utilisés pour payer ceux qui participent à la fabrication des biens et services que nous produisons aujourd’hui. »
Le point de vue d’un astrophysicien qui transcende les disciplines scientifiques :
« L’Amérique du Nord et à sa suite l’Europe sont aujourd’hui en stade de stagflation. Un coup d’œil à la surface de van der Waals montre qu’on ne peut maintenir la croissance économique qu’en longeant la falaise de Sénèque de plus en plus loin du point critique. C’est ce qu’on fait en internationalisant l’économie. C’est ce à quoi conduira tout traité transatlantique. Mais plus on s’éloigne du point critique plus la hauteur de la falaise augmente et plus la chute sera catastrophique. »