@JC_Lavau. Sans oublier la gestion du risque politique.
Ce n’est plus un secret qu’Ahmed Sékou Touré était paranoïaque et pervers.
Question naïve : la férocité de sa répression a sélectionné quoi au juste, comme successeurs ?
On a le précédent historique de la police du tsar, qui a sélectionné les révolutionnaires les plus secrets et les plus paranoïaques. On a vu la suite.
Précédents bien connus : dès qu’une entreprise gérée par des bwanas tourne bien, elle est zaïrisée ou zimbabwéisée. Quand elle est bien pillée et ruinée par les rois nègres locaux, elle est confiée à nouveau à des bwanas, et le cycle recommence.