malgré tous les avatars de ce monde cul par dessus tête, il est rassurant de pouvoir lire (encore...) sur la même page la prose indigeste et vacharde d’un Choisis ton camp, camarade ! par Sylvain
Rakotoarison, ou le mot « camarade » sonne comme une insulte ; et la votre chere pascale, pleine d’humanisme.