Merci Raoul-Henri pour ce comment-taire qui ouvre d’une manière intéressante, sur une dimension plus politique (mais comme tout est politique !).
A propos de l’utilisation du vocable « bénévolats », je dois dire que lors de la rédaction que j’ai fait parvenir à mon entourage (complice d’idée et de réalisation), je l’ai remplacé par « bénévoles ». Dites moi si ça résonne différemment en vous en regard de ce vous soulevez.
Par rapport à l’utilisation des mots pour échanger, je vous suggère de lire
« Le maître ignorant » de Jacques Rancierre. Si vous le connaissez, dites en moi alors ce que vous en avez tirez.
Bien à vous
Konstan
PS : suite à une discussion avec un ami à propos de mon article,
1) j’ai remplacé « du bien » par « le bien » dans la 1ère définition formulée en haut d’article, qui se raccorde à l’ancrage latin du terme (la 2ème étant la mienne, en résonance avec Alexandre Jollien dans son « Traité de l’abandon »)
2) il m’a ouvert une direction à exploiter autour des notions de bien et de mal. En effet, on peut très bien faire du mal en pensant faire du bien
. . . à suivre