Le probleme, c’est que dans ces pays arrieres, les demis intellos paumes, recherchent encore dans le parasitisme militaire, les voies d’une ascension sociale qu’ils seraient incapables de trouver dans l’entreprise, et meme, quand tous va bien, dans les bureaucratie d’etat. C’est pour cela que ces catastrophe bolivariennes sont heureusement impossibles chez nous. Nos bras casses sont heureusement recycles dans le precaire et l’intermitence publique ou para publique. Les gens qui sont pret a faire le sacrifice de s’engager pour la defense des valeurs de la republique, liberte, egalite, fraternite, sont a peu pret exclusivement a droite, si on excepte quelques francs mac ca et la.
Des lors, si les fous furieux arrivistes des « gauches extremes », devaient continuer a chercher a arracher par l’action dans la rue, une part croissante de l’argent que nous destinons aux pauvres, les forces republicaines les remettraient a leur place, en tole, rapidement. Il faudra et il suffira d’une volonte politique.
Pour le,reste, cela,fait deux siecles, que l’on connait la pertinence des discours sur les « pauvres » par lequels,ces seconds couteaux de l’intelligence, tente l’arrivisme materialiste collectif, faute des qualites individuelles suffisantes pour etre utile a la societe.